Un jour, un voisin vint demander à Nasreddin Hodja de lui prêter son âne.
-L'âne est au pré, répondit Nasreddin.
Comme il prononçait ces paroles, on entendit l'âne braire dans l'écurie.
Le voisin dit, d'un air sévère:
-L'âne est à l'écurie, et tu voulais me faire croire qu'il est au pré parce que tu ne veux pas me le prêter. Je suis très déçu par ton attitude.
Et Nasreddin de répondre, indigné:
-C'est moi qui suis déçu.
Tu crois le baudet, et tu ne me crois pas,moi!
Les autres contes,sont plus longs alors il vous faudra attendre que le courage m'envahisse pour vous les copier, à moins qu'à la rencontre on ne se prévoit en plus du moment chant, un moment conte!(sans oublier le feu de camp et la guitare
)